« Made in China » : un concept dépassé ? | INS Global

« Made in China » : un concept dépassé ?

« Made in China » : un concept dépassé ?

juillet 8, 2014

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Les points essentiels à retenir

  1. Cette mauvaise réputation s’est accentuée ces dernières années, suite notamment à plusieurs scandales sanitaires en Europe
  2. Bien que la Chine ait toujours été plus ou moins le leader incontesté en matière de manufacture, notamment grâce à une main d’œuvre bon marché, elle doit faire ces dernières décennies à la montée de nouveaux pays producteurs, tels les États-Unis, la Corée du Sud, le Japon et l’Allemagne entre autres.
  3. La Chine doit attirer de nouveaux partenaires et séduire les anciens. Pour rester compétitifs, les méthodes de production se doivent d’évoluer tant sur le fond que sur la forme.
  4. Pour un entrepreneur désireux de créer un partenariat de production avec la Chine, il convient pour lui de s’assurer du sérieux de l’autre partie.
  5. La fourniture de locaux permettra également un gain de temps et d’argent par rapport à la solution du bureau de représentation, choix plus onéreux et délicat à gérer lorsque l’on est peu familier avec la culture chinoise.
Résumé

L’atelier du monde doit revoir sa copie pour rester compétitif.

 

La Chine tire son incroyable ascension économique principalement de sa capacité à produire la plus grande majorité de nos produits en matière d’habillement, de textile, d’électronique ou de jouets : en moyenne, 62 % des jouets importés en France sont confectionnés en Chine, 32,6 % des importations d’appareils électroménagers sont de la même provenance. La question de la qualité des biens produits s’est toutefois rapidement posée et les polémiques régulières qui en découlèrent firent apparaître la notion du « Made in China », synonyme de piètre finition et valeur minimale du produit fini.

Cette mauvaise réputation s’est accentuée ces dernières années, suite notamment à plusieurs scandales sanitaires en Europe. Ainsi en 2012, sur 2300 produits dangereux retirés du marché européen, 58 % venaient de Chine. Il y a quelques années, 47.000 fauteuils et canapés «made in China» contenant un fongicide depuis interdit en France étaient accusés de causer des allergies. Des centaines de brûlures avaient été ainsi déclarées.

 

Les raisons du déclin : concurrence accrue et mauvaise production.

 

Bien que la Chine ait toujours été plus ou moins le leader incontesté en matière de manufacture, notamment grâce à une main d’œuvre bon marché, elle doit faire ces dernières décennies à la montée de nouveaux pays producteurs, tels les États-Unis, la Corée du Sud, le Japon et l’Allemagne entre autres.

Ces pays s’illustrent principalement par une réputation de meilleure qualité des objets produits, mais ce qui a réellement changé la donne repose sur le fait que leurs coûts de production se soient sensiblement rapprochés des coûts chinois. Le développement de gigantesques pôles industriels et d’une main d’œuvre toujours plus compétente a pourtant progressivement fait grimper les prix. Produire en Chine coûte désormais trop cher. Bien que restant avantageux, les frais sont de plus en plus similaires parmi les différents pays producteurs et le critère de qualité se voit peser de plus en plus lourd dans la balance et dans le choix des entreprises.

Ces derniers commencent ainsi à délocaliser leurs activités de production et à quitter le territoire chinois en direction de la Mongolie intérieure, du Bangladesh, du Vietnam ou même du Cambodge.

 

Vers un possible renouveau de la production manufacturée.

 

La Chine doit attirer de nouveaux partenaires et séduire les anciens. Pour rester compétitifs, les méthodes de production se doivent d’évoluer tant sur le fond que sur la forme. En d’autres termes, les contrôles qualités se doivent d’être plus rigoureux et l’accent porté sur le respect des normes internationales.

Les récentes statistiques semblent démontrer une inversion de la tendance avec une hausse de la demande et une honnête augmentation de la production manufacturée globale. Ainsi au mois de Juin dernier, une étude de Markit publié par HSBC, dénote une hausse de 1,4% de la production par rapport au mois de Mai, passant ainsi de 49,4% à 50,8%.

Ceci étant, qu’en est-il d’une entreprise désireuse de produire à moindre frais pour un résultat optimal et ne disposant que de peu de renseignements sur les méthodes chinoises ?

 

Le rôle d’INS Global Consulting dans le contrôle qualité.

 

Les coûts de production s’harmonisant de plus en plus au fil des années, la notion de qualité de la production chinoise est dès lors l’objet principal d’un partenariat entre une entreprise étrangère et une usine de production chinoise. Il s’agit pour l’entrepreneur étranger de voir son cahier des charges respecté et ce au meilleur prix possible. Pour ce faire il convient de procéder à un contrôle de la chaîne de production chinoise afin de s’assurer du respect des conditions de production propre au contrat. Mais alors, comment INS peut-elle faciliter une telle démarche ?

Pour un entrepreneur désireux de créer un partenariat de production avec la Chine, il convient pour lui de s’assurer du sérieux de l’autre partie. Pour ainsi procéder à un contrôle qualité poussé, il lui faut envoyer un ou plusieurs consultants sur place et cela autant de temps que nécessaire.

INS va pouvoir faciliter cela en proposant une gamme de services qui seront de la plus grande utilité : elle procurera des visas Z et permis de résidence de façon légale, engagera en son nom du personnel local de qualité pour l’entreprise étrangère, prendra en charge sa comptabilité, rémunérera mensuellement le ou les employés et enverra chaque mois la déclaration fiscal de ces derniers aux autorités chinoises. La fourniture de locaux permettra également un gain de temps et d’argent par rapport à la solution du bureau de représentation, choix plus onéreux et délicat à gérer lorsque l’on est peu familier avec la culture chinoise.

Dernier point à retenir, à l’issue du contrôle qualité, deux éventualités sont possibles : le partenaire chinois donne satisfaction et un contrat est conclu, ou bien les négociations échouent et l’entrepreneur étranger subit des pertes minimales suite à son séjour sur le territoire chinois. Dans les deux cas, INS aura son rôle à jouer pour une issue optimale.

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