Témoignage
Manuel Ramos
TERAO ASIA
Directeur Général
INS Global est une bonne solution pour débuter sur un marché comme la Chine. Comprendre un marché ne signifie pas que vous devez créer une entreprise immédiatement.
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Une société de portage salarial au Honduras peut constituer le lien qui vous permettra de développer votre activité sans difficultés au sein d’un nouveau marché. Les services proposés par une société de portage salarial prennent en charge la gestion RH et assurent le respect des lois fiscales et du droit du travail local. Ainsi, vous pouvez recruter de manière rapide des talents locaux ou de muter des travailleurs étrangers. Vous pouvez également rémunérer vos collaborateurs en monnaie locale et vous conformer au droit du travail hondurien sans la nécessité de mettre en place une entité juridique.
En règle générale, les entreprises souhaitant se développer à l’international doivent obligatoirement se familiariser avec le cadre juridique et administratif complexe d’un pays étranger. Ce processus est généralement lent et nécessite un gros capital. Il comporte également de nombreux risques juridiques.
En revanche, le recours à une société de portage salariale à l’étranger est une approche rationalisée et innovante qui permet aux entreprises de développer leur activité au Honduras. Les sociétés de portage salarial deviennent l’employeur légal de votre personnel au Honduras et s’occupent de l’ensemble des responsabilités patronales qui en découlent ce qui vous permet de vous concentrer davantage sur la croissance.
Le marché du travail hondurien peut s’avérer complexe pour les entreprises étrangères. En revanche, le recours à une société de portage salarial au Honduras permettra à votre entreprise de se conformer à l’ensemble des lois et des réglementations locales.
La création d’une entité juridique au Honduras est un processus long et coûteux. En faisant appel à une société de portage salarial locale, les entreprises peuvent réduire les coûts et accélérer leur processus d’expansion.
En confiant les tâches liées à la gestion RH et la gestion de la conformité juridique à une société de portage salarial, les entreprises peuvent se concentrer davantage sur les initiatives visant à favoriser leur croissance stratégique. Ainsi, elles peuvent mieux gérer la contribution quotidienne de leurs collaborateurs à leur croissance.
Exercer une activité au sein d’un pays étranger comme le Honduras comporte des risques puisque vous serez amenés à interagir avec les lois étrangères en matière de conformité et d’emploi. Le recours à une société de portage salarial ayant une connaissance approfondie de la réglementation hondurienne vous permet de développer votre activité tout en respectant les règles juridiques et en protégeant votre réputation.
Nous appréhendons parfaitement les spécificités du marché local, les défis liés à chaque secteur d’activité ainsi que les bonnes pratiques. Tirez parti de notre expertise afin d’optimiser votre expansion au Honduras et dans plus de 100 pays à travers le monde.
La constitution d’une société à l’étranger est un mode d’expansion qui a fait ses preuves. En revanche, il comporte plusieurs risques et de nombreuses contraintes. Cette solution entraîne des procédures juridiques complexes et des coûts importants, qui peuvent limiter ou mettre en péril votre stratégie d’expansion. En outre, la constitution d’une filiale à l’étranger peut nécessiter plusieurs mois ce qui rend cette solution inappropriée pour les projets urgents.
En revanche, les sociétés de portage salarial permettent de recruter et de rémunérer les salariés localement sans la nécessité de créer une entité distincte à l’étranger. Contrairement à la constitution d’une société, une structure de portage salarial hondurienne s’occupe de l’ensemble des tâches administratives et de la gestion de la conformité juridique pour le compte de votre entreprise. Cette approche rationalisée vous permet de vous concentrer davantage sur votre activité principale et de pivoter avec succès.
Par conséquent, une société de portage salarial au Honduras vous permet d’agir rapidement et en toute sécurité pour :
Manuel Ramos
TERAO ASIA
Directeur Général
INS Global est une bonne solution pour débuter sur un marché comme la Chine. Comprendre un marché ne signifie pas que vous devez créer une entreprise immédiatement.
Pour faire appel à une société de portage salarial au Honduras, la procédure est simple :
Les sociétés de portage salarial et les employeurs de référence sont deux prestataires qui offrent des services liés à l’externalisation en matière d’emploi.
Une société de portage salarial au Honduras agit en tant que co-employeur. Elle partage certaines responsabilités avec votre entreprise tout en fournissant un soutien opérationnel en matière de gestion RH.
En revanche, un employeur de référence assume l’entière responsabilité juridique liée à la gestion des tâches RH telles que le recrutement et la mutation des travailleurs, la gestion de la paie, la rédaction et l’édition des contrats de travail, etc.
Ces deux options peuvent être utiles en fonction des besoins spécifiques de l’entreprise. Cependant, il importe de noter qu’un employeur de référence offre un accompagnement complet et une grande flexibilité aux nombreuses entreprises internationales souhaitant se développer au Honduras.
Un écrit n’est pas exigé pour les contrats de travail au Honduras. En revanche, il est recommandé d’établir un contrat de travail écrit décrivant de manière claire les conditions d’emploi afin d’éviter les malentendus et les litiges à l’avenir.
Le contrat de travail doit obligatoirement comporter ces éléments importants :
Le contrat de travail doit impérativement préciser s’il s’agit d’un contrat à durée déterminée ou indéterminée. Les contrats à durée déterminée doivent indiquer clairement la durée ou la date de fin du contrat.
Voici les types de contrats de travail les plus utilisés au Honduras :
Selon le droit du travail au Honduras, la durée de la période d’essai ne doit en aucun cas excéder 2 mois (60 jours).
Au Honduras, la procédure liée à la rupture du contrat de travail peut s’avérer relativement simple si l’employeur et le salarié conviennent d’un commun accord de mettre fin au contrat. Ils peuvent fixer les conditions et les modalités de la rupture, y compris les indemnités de fin de contrat ou les compensations.
Toutefois, lorsqu’une partie ne respecte pas ses obligations contractuelles ou commet une faute grave, la partie demandant la rupture du contrat est tenue de fournir un motif valable pour justifier la rupture. Cela n’ouvre pas le droit à un préavis ou à une indemnité de licenciement et peut donner lieu à des mesures disciplinaires.
En cas de licenciement hors faute, les employeurs sont tenus de respecter un préavis et de verser une indemnité de licenciement en fonction de l’ancienneté du salarié, comme indiqué ci-dessous :
Dans le cadre d’un contrat à durée indéterminée, chaque partie peut procéder à la rupture du contrat de travail en respectant un préavis de licenciement ou de démission.
En cas de licenciement hors faute, l’employeur est tenu de verser une indemnité de licenciement comme suit :
Au Honduras, la durée maximale de travail est fixée à 8 heures par jour, soit 44 heures par semaine. Cependant, la limite des 44 heures ne s’applique pas à ces catégories de travailleurs ou à ces secteurs d’activité :
En revanche, ces travailleurs ne peuvent être tenus de rester au travail plus de 12 heures par jour et ont droit à un repos d’une durée minimale d’une heure et demie.
La durée normale du travail au cours d’une journée peut être continue ou divisée en deux périodes ou plus, avec des pauses, en fonction de la nature du travail et des besoins du travailleur.
Pour les heures de travail continues, les travailleurs ont droit à une pause au cours de la journée d’une durée minimale de 30 minutes. Ce repos est inclus dans le temps de travail.
Au Honduras, la durée maximale quotidienne de travail est fixée à 12 heures (heures normales et heures supplémentaires). Un employeur ne peut en aucun cas imposer à un travailleur d’effectuer des heures supplémentaires plus de 4 fois par semaine.
Au Honduras, les heures supplémentaires sont rémunérées comme suit :
Au Honduras, les salariés à temps plein bénéficient de la prime de 13ème mois (versé en décembre sous forme de la prime de Noël) et de la prime de 14ème mois (versé en juillet). Le montant de chaque prime est égal à un mois de salaire brut.
Au Honduras, les salariés ont droit à un congé rémunéré durant les 10 jours fériés reconnus au niveau national :
Pour bénéficier d’un congé annuel rémunéré, un travailleur hondurien doit justifier au moins d’une année complète de travail consécutif chez le même employeur. La durée du congé annuel est proportionnelle au temps de travail effectué chez le même employeur comme suit :
Au Honduras, les salariés ont droit à un arrêt de travail en cas de maladie. Leur rémunération pendant cette période est prise en charge par la sécurité sociale à hauteur de 66% de leur salaire moyen au cours des 3 derniers mois précédant leur arrêt de travail.
Ces indemnités peuvent être versées jusqu’à la 26ème semaine de l’arrêt maladie. Dans certains cas, la durée de paiement peut être prolongée pour atteindre la 52ème semaine maximum.
En revanche, les salariés ont droit à 100% de leur salaire en cas d’hospitalisation et s’ils n’ont pas de personnes à charge. L’employeur et l’État partagent à parts égales le coût lié à l’arrêt maladie.
Les salariées ont droit à un congé maternité d’une durée de 10 semaines maximum en plus d’un congé prénatal d’une durée de 4 semaines. Pendant ce congé, les salariées perçoivent 66 % de leur salaire brut.
En cas de maladies liées à la grossesse ou à l’accouchement, les salariées bénéficient d’un congé maternité rémunéré d’une durée maximale de 3 mois à condition de soumettre un certificat médical. Au-delà de ces 3 mois, le congé maternité peut être prolongé de manière indéfinie, mais n’ouvre pas droit à une rémunération.
Lors de leur congé maternité, les salariées non couvertes par l’assurance sociale percevront des indemnités versées par leur employeur.
Il n’existe actuellement aucune loi relative au congé paternité au Honduras.
Au Honduras, les cotisations de sécurité sociale sont calculées en HNL (lempira hondurien) comme suit :
Au Honduras, l’impôt sur le revenu des personnes physiques est progressif. Le taux d’imposition varie en fonction de la tranche de revenu, comme indiqué ci-dessous :
Revenu (lempiras honduriennes) | Taux d’imposition (%) |
0 – 199,039.47 | Exonéré |
199,039.48 – 303,499.90 | 15 |
303,499.91 – 705,813.76 | 20 |
705,813.77 et plus | 25 |
Les citoyens honduriens et les résidents sont imposés sur leurs revenus mondiaux. En revanche, les non-résidents sont imposés uniquement sur les revenus provenant de sources honduriennes.
Au Honduras, les sociétés résidentes sont soumises à l’impôt sur les sociétés (IS). Le taux de l’IS est fixé à 25% et concerne uniquement les revenus nets imposables.
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Non, il est nécessaire de faire appel à une entité locale à l’étranger afin de se conformer aux exigences du droit du travail au sein de chaque pays.
Pour recruter du personnel à l’étranger, les entreprises étrangères peuvent soit créer une entité locale au sein de chaque pays soit recourir aux services d’une société de portage salarial.
Un employeur de référence au Honduras assume l’ensemble des responsabilités et des obligations d’un employeur légal pour le compte d’une entreprise à l’étranger. Les employeurs de référence prennent en charge différentes tâches et responsabilités patronales, notamment la gestion de la paie, les prélèvements fiscaux, la gestion des avantages sociaux et le respect de la législation du travail.
Le coût des services proposés par une société de portage salarial professionnelle au Honduras est calculé en pourcentage de la rémunération mensuelle perçue par le salarié porté. Ce coût couvre l’ensemble des tâches liées à la gestion RH permettant de garantir le respect de la législation du travail locale.
Oui. Le recours à une société de portage salarial au Honduras est un moyen fiable, légitime et efficace de gérer les responsabilités d’un employeur sans la nécessité d’établir une structure juridique au sein du pays.
L’établissement d’un accord de portage salarial au Honduras assure mensuellement à vos collaborateurs un versement de salaire correct et dans les délais. Vos salariés peuvent également bénéficier de l’ensemble des avantages sociaux honduriens et d’une protection juridique complète grâce à l’expertise juridique offerte par la société de portage et à son accompagnement en matière de conformité.
Les entrepreneurs indépendants qui exercent leur activité professionnelle dans le cadre du portage salarial au Honduras conservent un contrôle total sur leur mode de travail et peuvent bénéficier des mêmes avantages sociaux que les salariés classiques. Le recours à une société de portage salarial permet de défendre vos intérêts.
Oui. Notre équipe de consultants en recrutement peut trouver pour vous les meilleurs talents locaux au Honduras afin de répondre à vos besoins.
Oui. Une société de portage salarial peut faire appel à ses réseaux professionnels en ligne ou hors ligne afin de vous aider à trouver des travailleurs dans les différentes villes et régions honduriennes.
Une société de portage salarial prend en charge la chasse de têtes, les entretiens d’embauche et la sélection des candidats dans les villes et les régions spécifiques du pays, en fonction de vos besoins ou de vos préférences.
Vous pouvez engager le nombre de collaborateurs dont vous avez besoin afin d’atteindre vos objectifs. Certaines sociétés de portage salarial imposent une limite minimale ou maximale. En revanche, INS Global ne fixe aucune limite concernant le nombre de recrues. En effet, nous sommes parfaitement conscients de l’importance de la flexibilité lors de la mise en œuvre d’une stratégie commerciale au Honduras. Nous vous aidons à augmenter ou à réduire vos effectifs rapidement et à tout moment.
Permettre à vos collaborateurs de travailler au sein d’un espace de travail partagé est une option intéressante. Par ailleurs, le recours à une société de portage salarial au Honduras contourne l’obligation de disposer d’une adresse professionnelle locale.
Oui. Nous pouvons prendre en charge la gestion des procédures relatives aux visas et aux permis de travail pour le compte des salariés étrangers au Honduras. Nous pouvons également gérer les situations présentant des différences entre les travailleurs honduriens et internationaux notamment en matière du droit du travail local, des lois fiscales ou des avantages sociaux.
Les solutions proposées par une société de portage salarial sont particulièrement adaptées aux PME et aux multinationales. Elles garantissent le recrutement efficace et sécurisé des travailleurs étrangers et locaux. De plus, ces services vous permettent d’adapter les demandes d’emploi à vos besoins opérationnels.
Les cabinets de recrutement et les sociétés de portage salarial sont des prestataires externes qui peuvent vous aider à recruter des freelances au Honduras.
Au Honduras, le coût d’un recrutement tient compte de l’ensemble des dépenses telles que les salaires, les frais d’embauche, les primes à la signature et les cotisations de sécurité sociale.
Au Honduras, les employeurs prennent en charge la gestion de la paie de l’ensemble des travailleurs. Ils sont également responsables du prélèvement et du versement mensuel des montants correspondant à l’impôt sur le revenu et aux cotisations sociales dus par leurs collaborateurs.
Il n’existe pas de salaire minimum national unique au Honduras. Le montant du Smic est généralement déterminé en fonction du secteur d’activité.
Voici les types de visas généralement accordés aux salariés au Honduras :
Au Honduras, les employeurs sont chargés de la gestion et du prélèvement mensuel de l’impôt sur le revenu et des cotisations de sécurité sociale de leurs employés.
Au Honduras, les salariés ont droit à une retraite publique, à la prime de 13ème et 14ème mois, à une indemnité de licenciement, à des jours fériés, à des congés payés (arrêt maladie, congé annuel et congé parental) ainsi qu’à une assurance maladie.
Au Honduras, les modifications unilatérales du contrat de travail d’un salarié ne sont pas autorisées. Les modifications des conditions de travail d’un employé doivent être convenues et un avenant doit être signé par l’employeur et le salarié.
En plus des soins de santé privés, le gouvernement gère le principal système de santé publique du pays qui est financé par les recettes fiscales et les contributions versées à l’Institut Hondurien de Sécurité Sociale (IHSS). Ce système offre des services de santé par le biais d’un réseau d’hôpitaux publics, de centres de santé et de cliniques dans tout le pays.
Au Honduras, les employeurs souhaitant mettre un terme au contrat de travail d’un salarié sont tenus de respecter un préavis approprié et de verser une indemnité de licenciement, comme indiqué ci-dessous :
La réglementation du travail au Honduras est réglementée et appliquée par le Ministère du Travail et de la Sécurité Sociale (Secretaría de Trabajo y Seguridad Social – STSS). Le ministère est chargé de formuler et de mettre en œuvre les politiques du travail, de veiller au respect de la législation du travail et de protéger les droits et le bien-être des travailleurs au Honduras.
Les salariés au Honduras ont droit à un congé payé pendant les 10 jours fériés reconnus au niveau national.
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